Si vous êtes en état de détresse, veuillez appeler ou texter le 988 n’importe quand. En cas d’urgence, appelez le 9-1-1 ou rendez-vous à votre service d’urgence local.

Accueil › Ressources › Santé mentale et usage de substances pendant la pandémie de COVID‑19 : le genre et à la taille du ménage

Santé mentale et usage de substances pendant la pandémie de COVID‑19 : le genre et à la taille du ménage

La COVID-19 continue de provoquer de graves répercussions sur la santé mentale et la consommation de substances, avec certaines différences liées au genre et à la taille du ménage

Un nouveau rapport issu de la série de sondages Léger commandés par la Commission de la santé mentale du Canada et le Centre canadien sur les dépendances et l’usage de substances fait la lumière sur les effets variables des agents stressants liés à la COVID-19 en fonction du genre et de la taille du ménage, en plus de revenir sur les répercussions vécues par les personnes ayant des problèmes préexistants liés à l’usage de substances ou à la santé mentale.

Le sondage, mené auprès de plus de 7 000 résidents canadiens, a révélé que les femmes interrogées vivant dans un ménage comptant des enfants de moins de 13 ans rapportaient des taux d’anxiété et une consommation de substances accrus.

Principales constatations :

  • Davantage de femmes que d’hommes ont affirmé ressentir des symptômes d’anxiété moyens à graves (29 % contre 20 %), et les taux sont encore plus élevés chez les femmes et les hommes vivant dans un ménage avec des enfants de moins de 13 ans (37 % contre 24 %).
  • Les femmes vivant dans un ménage avec des enfants de moins de 13 ans ont révélé des taux plus élevés de consommation accrue de substances que les hommes (37 % contre 26 % pour l’alcool, 48 % contre 37 % pour le cannabis).
  • Davantage d’hommes que de femmes ont dit avoir une santé mentale excellente ou très bonne (48 % contre 35 %), mais davantage d’hommes que de femmes ont rapporté une consommation problématique d’alcool (28 % contre 16 %) et une consommation problématique de cannabis (43 % contre 32 %).
  • Les personnes vivant seules sont plus susceptibles de présenter des symptômes moyens à graves de dépression (20 % contre 15 %), des pensées suicidaires (9 % contre 6 %) et d’avoir une consommation problématique d’alcool (31 % contre 22 %), en comparaison avec le reste de la population.
  • Infographie : Santé mentale et usage de substances pendant la pandémie de COVID-19 : les ménages canadiens avec de jeunes enfants

D’autres rapports de cette même série

Santé mentale et usage de substances pendant la pandémie de COVID‑19 : Premier rapport sommaire

Santé mentale et usage de substances pendant la pandémie de COVID‑19 : le revenu, l’emploi et l’accès

Formulaire de rétroaction

Bonjour, et merci de consulter cette ressource. Après l’avoir parcourue, il nous plairait d’en apprendre un peu plus sur vos centres d’intérêt et sur la façon dont vous avez trouvé notre site. L’information proposée correspondait-elle à ce que vous cherchiez? Les renseignements étaient-ils utiles? Nous tiendrons compte de vos commentaires pour améliorer nos services.

Acceptez-vous que l’on communique avec vous d’ici 3 à 6 mois afin d’effectuer une enquête de suivi?
Dans l’affirmative, veuillez fournir une adresse de courriel
This field is for validation purposes and should be left unchanged.

PARTAGEZ CETTE PAGE

Sur le même thème

La santé mentale concerne tout le monde, y compris les travailleurs de la santé. Cette vidéo raconte l’histoire d’une personne qui trouve un accès à des services de santé mentale...

L’impact de la COVID-19 et de la crise des surdose sur la santé mentale et la santé liée à l’usage de substances (SMSUS) a creusé l’écart entre les besoins de...