Le langage simple n’est plus réservé qu’aux enfants
Un lieu de travail accessible et inclusif contribue à une bonne santé mentale au travail. L’utilisation d’un langage simple dans vos communications est un bon point de départ.
Si vous êtes en état de détresse, veuillez appeler ou texter le 988 n’importe quand. En cas d’urgence, appelez le 9-1-1 ou rendez-vous à votre service d’urgence local.
Un lieu de travail accessible et inclusif contribue à une bonne santé mentale au travail. L’utilisation d’un langage simple dans vos communications est un bon point de départ.
Le changement et les transitions au cours de la vie peuvent susciter la peur, le doute et l’anxiété. Pour les jeunes enfants, l’arrivée d’un nouveau petit frère, d’une nouvelle petite sœur ou d’un nouveau soignant, le début de la garderie, l’entrée à l’école ou les grands bouleversements comme le divorce des parents ou le déménagement sont autant de situations qui viennent à l’esprit. En tant que jeunes adultes, nous quittons le domicile familial, entamons une nouvelle carrière, fondons une famille, établissons des relations et en rompons d’autres. En vieillissant, nous découvrons de nouvelles libertés, comme la retraite, ainsi que de nouveaux obstacles, comme le déclin de notre santé.
Le travail occupe une place importante dans nos vies. Et le stress fait partie de la vie. Mais lorsque le stress au travail dépasse un certain seuil et devient malsain, il faut agir. Plutôt que de réagir à la crise du jour, nous devons chaque jour protéger activement notre santé mentale au travail, et ce, avant qu’une crise se manifeste.
Je démissionnais, au sens propre du terme. Je concédais la défaite sans me laisser abattre. J’avais fini par accepter que je ne pouvais plus éviter quelque chose d’indésirable.
Choosing to go to therapy may feel scary and overwhelming. Some may even have the belief that a therapist tells you what to do to ‘solve’ your problem. Therapy over the years has been stigmatized, but as we become more aware of mental health, the stigma has lessened.
Je vais parler de choses plutôt sombres, et je vous invite à me suivre jusqu’au bout, car c’est important. J’ai eu des idées suicidaires (et j’en aurai sûrement encore étant donné le caractère cyclique des troubles bipolaires) et j’aimerais vous expliquer ce que c’est. Je n’en ai jamais parlé à personne, mais j’aimerais le faire maintenant, car c’est la journée de la sensibilisation au suicide, qui a lieu chaque année, le 10 septembre, en mémoire de toutes les personnes décédées par suicide et de celles qui ont fait des tentatives de suicide ou qui ont des idées suicidaires, ainsi que de leurs proches.
Avez-vous l’impression de devoir toujours être en train de faire quelque chose? Avez-vous du mal à vous détourner de votre liste de choses à faire et à vous détendre?
Il a fallu que je souffre d’épuisement professionnel pour comprendre qu’il y a des inconvénients à être une « personne très performante ». La recherche de l’excellence a un prix. Nous ne gagnons pas à nous occuper sans cesse.
Je roulais en voiture pour aller au cinéma avec un ami, quand tout à coup… PAF! Un nid-de-poule. Mon pneu s’y est enfoncé avant que je n’aie pu réagir, et je ne sais pas ce qui s’est passé – l’impact a déformé mon alignement ou tordu ma suspension ou quelque chose du genre (vous l’aurez deviné, je n’ai aucune compétence en mécanique!). Quelques instants plus tard, je me suis retrouvée bloquée sur le bord de la route, puis ma voiture a été remorquée jusqu’au garage où, après de longues réparations, on m’a tendu une facture salée. Et j’ai raté mon film.
Il y a des années, mon professeur de Civilisation romaine a entamé un cours en invitant le groupe à dresser la liste des choses romaines que nous utilisons toujours. Les étudiants ont énuméré le ciment, les routes, le calendrier julien. Il nous a invités à rétrécir notre champ de recherche. Peu importe ce que nous proposions, ce n’était jamais assez petit. Toujours plus petit.