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Déclaration au sujet de la nouvelle stratégie globale sur les drogues du gouvernement du Canada par Louise Bradley, présidente-directrice générale de la Commission de la santé mentale du Canada

« La Commission de la santé mentale du Canada félicite le gouvernement du Canada de sa décision qui vise à rétablir la réduction des méfaits en tant que pilier de la stratégie canadienne de lutte contre les drogues, de concert avec la prévention, le traitement et l’application de la loi, tel qu’annoncé par l’honorable Jane Philpott, ministre de la Santé. »

Dans le cadre de la nouvelle Stratégie canadienne sur les drogues et autres substances et du projet de loi C-37 qui l’accompagne, le gouvernement a emprunté une approche axée sur la compassion et les données probantes. Sa politique sur les drogues inclut la réduction des méfaits ainsi que la simplification du processus d’ouverture de centres de consommation supervisée.

À l’heure actuelle, environ la moitié des gens qui fréquentent les centres de consommation supervisée sont marginalisés. Ils sont souvent itinérants ou résident dans des refuges, en plus d’être aux prises avec des maladies et des problèmes de santé mentale graves. Ces programmes permettent non seulement de réduire les méfaits associés au mésusage de substances, mais ils sont également d’importants points d’accès pour les gens qui ont souvent de la difficulté à obtenir des services de santé. De nombreuses études menées sur plusieurs décennies montrent l’efficacité des programmes de consommation supervisée.

Dans le même ordre d’idées que l’approche Logement d’abord traite de l’itinérance et de la maladie mentale, les centres de consommation supervisée sont des éléments clés du continuum de soins pour les personnes aux prises avec le mésusage de substances et des problèmes de santé mentale. Il s’agit d’un point d’accès essentiel vers d’autres services en vue d’améliorer les résultats sur le plan de la santé. L’augmentation du nombre de centres au Canada permettra d’améliorer l’état de santé d’un grand nombre de personnes qui consomment des substances tout en bâtissant des communautés plus saines.

L’amélioration de l’accès aux programmes de consommation supervisée est un aspect fondamental de la création d’un système de santé mentale holistique, centré sur la personne et dirigé par celle-ci, dans lequel les gens sont traités avec dignité et respect. »


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La Commission se veut un moteur du changement. Elle collabore avec des centaines de partenaires pour changer l’attitude de la population canadienne à l’égard des problèmes de santé mentale et pour améliorer les services et le soutien. Elle entend aider les personnes confrontées à un problème de santé mentale à mener une vie productive et enrichissante. Ensemble, nous suscitons le changement. La Commission de la santé mentale du Canada est financée par Santé Canada.

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