Si vous êtes en état de détresse, veuillez appeler ou texter le 988 n’importe quand. En cas d’urgence, appelez le 9-1-1 ou rendez-vous à votre service d’urgence local.

Un cours virtuel conçu pour améliorer les attitudes des fournisseurs de soins de santé et des premiers intervenants à l’égard des personnes ayant une maladie

Stephanie Knaak étudie la stigmatisation structurelle depuis près d’une décennie. Elle est spécialiste des politiques, des lois et des pratiques fondamentales de notre système de soins de santé qui désavantagent les personnes aux prises avec une maladie mentale.

Pauline Meunier, ambulancière depuis 26 ans, a dû consulter un allergologue pour mettre un nom sur son anxiété.
« Ce que je croyais être des réactions allergiques était en fait des crises de panique », dit-elle. « Avant que l’on me parle d’anxiété, il ne m’était jamais venu à l’esprit que le problème venait de ma santé mentale. »

Son ambitieux plan stratégique décennal vise à transformer le paysage de la santé mentale au Canada

La première semaine de février marque la Semaine nationale de sensibilisation aux troubles de l’alimentation, une campagne nationale de sensibilisation du public qui a pour but de faire connaître la réalité des troubles de l’alimentation et des personnes qu’ils affectent.

Quand Thomas Ungar, psychiatre en chef de l’Hôpital St. Michael’s et professeur agrégé à l’Université de Toronto, est invité à décrire la stigmatisation structurelle qui explique les résultats de santé inférieurs des personnes aux prises avec des maladies mentales ou des troubles de consommation de substances, sa réponse est des plus inusitée.

Habituellement, quand une nouvelle année commence, nous nous fixons de nouveaux objectifs et nous faisons des plans pour les atteindre. Mais évidemment, cette année, nous