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Les bons services, au bon moment
Les efforts d’un regroupement pour accroître l’accès à la psychothérapie
Si vous êtes en état de détresse, veuillez appeler ou texter le 988 n’importe quand. En cas d’urgence, appelez le 9-1-1 ou rendez-vous à votre service d’urgence local.
Les efforts d’un regroupement pour accroître l’accès à la psychothérapie
Une nouvelle trousse d’outils pour promouvoir la sécurité psychologique en milieu de travail pendant la pandémie de COVID-19
« Les travailleurs de la santé ont toujours été des héros à mes yeux », dit Louise Bradley, présidente-directrice générale de la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC), qui est elle-même infirmière autorisée et ancienne administratrice d’hôpital. « Mais lorsqu’une crise d’une ampleur aussi phénoménale que celle de la COVID-19 éclate, nous en demandons encore davantage à une main-d’œuvre déjà débordée. »
La pandémie de coronavirus a suscité en nous de nombreuses causes d’anxiété. Depuis des mois, le pays est en situation de quasi-fermeture, la distanciation physique obligatoire nous sépare les uns des autres, et le monde tel que nous le connaissions a brusquement basculé.
Presque du jour au lendemain, les termes « éloignement physique » sont apparus dans le lexique des Canadiens. Désormais, nous savons tous que nous devons nous éloigner des autres pour ralentir la propagation de la COVID-19. Mais l’éloignement physique ne veut pas nécessairement dire que nous devons réduire nos contacts sociaux.
Le mardi 7 avril marque la Journée nationale des proches aidants, créé pour rendre hommage aux millions de personnes au Canada qui fournissent des soins non rémunérés à des êtres chers qui sont aux prises avec des handicaps, des maladies ou d’autres besoins spéciaux. Cette année, au beau milieu de la pandémie de coronavirus, cette journée revêt une importance supplémentaire, car ces proches aidants font face à des difficultés sans précédent.
En ce mois de mars, nous célébrons le Mois national du travail social et soulignons la contribution des travailleurs sociaux. Chacune de leurs journées est unique, qu’il s’agisse d’orienter une personne ayant des antécédents de consommation de substances vers un logement supervisé, d’aider une survivante de violence sexospécifique à trouver des solutions accessibles pour la garde de ses enfants ou d’élaborer des politiques de santé mentale pour les étudiants de niveau postsecondaire. Mais chaque journée exige d’eux un altruisme que peu de professions nécessitent.
Dans la foulée d’une autre Journée Bell Cause pour la cause réussie, il est important d’alimenter la discussion. Le 29 janvier, les messages textes et les gazouillis ont permis de recueillir la somme incroyable de 7 719 371 25 $ pour soutenir la santé mentale.
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