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Trousse d’évaluation du risque suicidaire

Cette Trousse vise à dresser un portrait général des éléments à prendre en considération pour l’utilisation d’outils d’évaluation du risque suicidaire et propose une liste non exhaustive d’outils disponibles accompagnés de leurs descriptions. Elle se veut un guide informatif rapide, destiné aux travailleurs et aux organisations de soins de santé souhaitant comparer ces outils et les aider à faire un choix. Le processus d’évaluation du risque suicidaire est complexe. Bien que les outils d’évaluation aient un rôle important à jouer, ils devraient servir à étayer, et non à remplacer, le jugement clinique.

Commandité par : l’Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP) et la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC). La production de la présente Trousse a été rendue possible grâce à la contribution financière de Santé Canada.

Comment décrire les outils d’évaluation du risque suicidaire et comment doivent-ils être utilisés?

Les outils d’évaluation du risque suicidaire contenus dans cette Trousse visent à reconnaître (1) les symptômes et les troubles notoirement associés aux facteurs de risque et aux signes avantcoureurs du suicide (par une évaluation des symptômes) et (2) les facteurs de protection et de résilience permettant d’évaluer la motivation et la détermination de la personne à vivre ou à mourir.

De tels outils peuvent prendre la forme de mesures autodéclarées, d’entretiens ou d’observations réalisés par un clinicien. L’évaluation peut être réalisée oralement, de façon manuscrite ou par support électronique, que ce soit indépendamment (comme mesure de dépistage) ou dans le cadre d’un examen plus approfondi de santé ou de santé comportementale.

Bien que les outils d’évaluation du risque suicidaire jouent un rôle important dans le processus d’évaluation, ils devraient servir à étayer, et non à remplacer, le jugement clinique ainsi qu’à recueillir des renseignements et des éléments de corroboration additionnels en vue d’étayer la prise de décisions cliniques en lien avec les risques suicidaires et la planification des traitements. Si possible, ces outils devraient être incorporés à une évaluation ou à un examen clinique du risque suicidaire plus détaillé et être utilisés par un clinicien ou un travailleur de la santé qualifié (une fois le rapport thérapeutique établi).

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