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Santé mentale et usage de substances pendant la pandémie de COVID‑19 : Les jeunes, les aînés et la stigmatisation

L’incidence de la COVID-19 se poursuit, affectant gravement la santé mentale et l’usage de substances, en particulier chez les jeunes

Un nouveau rapport issu d’une série de sondages — qui ont été menés par la firme Léger et commandés par la Commission de la santé mentale du Canada et le Centre canadien sur les dépendances et l’usage de substances — révèle les effets néfastes disproportionnés de la pandémie chez les jeunes, la résilience des aînés et la prévalence persistante de la stigmatisation à l’égard de la dépression et des troubles liés à l’alcool. Le sondage, mené auprès de plus de 10 000 Canadiens de partout au pays, fait également état des répercussions de la pandémie sur les personnes ayant des troubles préexistants de consommation de substances ou de maladies mentales.

Principales constatations :

  • Au Canada, les taux demeurent élevés en ce qui a trait aux troubles de santé mentale et d’usage de substances, en particulier chez les personnes aux prises avec des problèmes de consommation passés et actuels.
  • Parmi les jeunes (de 16 à 24 ans), 45 % font état de symptômes d’anxiété modérés à graves, et environ 40 % de ceux qui usent de l’alcool et (ou) du cannabis signalent une augmentation de leur usage au cours du dernier mois ainsi qu’une réduction de leur capacité à gérer le stress découlant de la pandémie.
  • En comparaison, les aînés (65 ans et plus) montrent des signes d’une meilleure santé mentale et d’un usage moins problématique de substances, ainsi que des capacités d’adaptation renforcées.
  • La stigmatisation entourant la dépression est toujours courante et perceptible et est encore plus répandue pour ce qui est des troubles liés à la consommation d’alcool.
  • Il est nécessaire de poursuivre les investissements dans les services de soutien en santé mentale et en usage de substances chez les jeunes, d’améliorer la résilience chez les personnes âgées et de déployer des efforts supplémentaires pour réduire la stigmatisation.

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